La faim nerveuse, souvent appelée “faim émotionnelle” ou “manger émotionnellement”, se manifeste par des habitudes alimentaires déclenchées non par une véritable sensation de faim physique, mais par des émotions, des sentiments ou des facteurs psychologiques. Les personnes souffrant de faim nerveuse ont tendance à manger en réponse au stress, à l’ennui, à la tristesse ou à l’anxiété, plutôt qu’à un besoin physiologique.

Cette forme de faim se traduit souvent par un grignotage impulsif de nourriture, en privilégiant généralement des snacks riches en calories, en sucres ou en matières grasses. Les personnes concernées peuvent consommer excessivement, même sans ressentir de réelle faim physique. Ce comportement peut créer un cercle vicieux où la consommation alimentaire renforce les émotions négatives, conduisant à une suralimentation supplémentaire.

La faim nerveuse peut être difficile à contrôler et peut contribuer à des problèmes de poids et de santé à long terme. Pour surmonter ce comportement, certaines approches, telles que la chromothérapie, sont envisagées :

La faim nerveuse est une réaction du corps à l’anxiété et au stress, souvent liée à l’hormone cortisol, qui accroît la sensation de faim.

La chromothérapie, utilise certaines couleurs pour réduire ce taux hormonal en stimulant la production d’endorphines (l’hormone du bien-être) et rééquilibrer ainsi la sensation de faim.

La lutte contre le stress est cruciale pour préserver votre bien-être, tant émotionnel que physique. Voici plusieurs stratégies efficaces pour gérer et diminuer le stress :

– Relaxation par la respiration : Prenez des moments pour pratiquer une respiration profonde, inspirant par le nez pendant 4 secondes et expirant lentement par la bouche.

– Méditation de pleine conscience : Accordez quelques minutes quotidiennement à la méditation pour apaiser l’esprit et réduire le stress.

– Relaxation musculaire progressive : libérez les tensions en contractant puis relâchant chaque groupe musculaire.

– Exercice régulier : pratiquez une activité physique plusieurs fois par semaine, comme la marche, le yoga ou d’autres activités que vous aimez, pour libérer des endorphines, les hormones du bien-être.

– Gestion du temps : utilisez des outils de planification pour mieux gérer les délais et prenez des pauses régulières pour vous détendre.

– Alimentation équilibrée : optez pour des repas sains et maintenez une hydratation adéquate en évitant les excès de sucre et de caféine, connus pour aggraver le stress et l’anxiété.

– Sommeil de qualité : établissez une routine de sommeil régulière pour favoriser la gestion du stress.

– Evitement des sources de stress : identifiez et réduisez autant que possible les sources de stress, qu’il s’agisse de personnes ou de situations stressantes.

– Résolution des problèmes : face à un problème, cherchez des solutions possibles et établissez un plan d’action pour retrouver un sentiment de maîtrise.

– Soutien social : partagez vos inquiétudes avec des proches ou des professionnels de la santé mentale pour obtenir un soutien et une perspective précieuse.

– Développement des compétences en gestion du stress : apprenez des techniques telles que la résolution de conflits et la communication assertive pour mieux gérer les situations stressantes.

– Loisirs et des activités relaxantes : accordez-vous du temps pour des activités relaxantes comme la lecture, la musique ou le jardinage, pour vous détendre.

– Chromothérapie : cette méthode vise à réduire la production de cortisol, l’hormone du stress, pour favoriser une sensation de relâchement et de détente.

La ménopause est une étape naturelle dans la vie d’une femme qui marque la fin de la période de fertilité. Elle est dû à la baisse significative de la production d’oestrogène qui provoque l’arrêt des règles, ostéoporose, bouffée de chaleur, modification de l’aspect de la peau, irritabilité ou insomnie. Elle survient généralement entre l’âge de 45 et 55 ans, bien que cela puisse varier d’une femme à l’autre. La ménopause est officiellement définie lorsque la femme n’a pas eu de menstruations pendant une année complète. Voici quelques points clés à connaître sur la ménopause …

– Symptômes de la ménopause : la ménopause est associée à divers symptômes, tels que les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes, les troubles du sommeil, les changements d’humeur, la sécheresse vaginale, la diminution de la libido, la prise de poids, les changements dans la répartition des graisses corporelles, la perte de densité osseuse (ostéoporose) et les fluctuations hormonales.

– Causes : la ménopause est principalement causée par la diminution des hormones sexuelles féminines, l’oestrogène et la progestérone, produites par les ovaires. Au fur et à mesure que la femme viellit, la production d’oestrogène diminue, ce qui entraîne la cessation des menstruations et d’autres changements physiologiques.

– Périodes pré-ménopaustiques et périménopause : avant d’atteindre la ménopause complète, les femmes traversent généralement une phase appelée la périménopause. Pendant cette période, les cycles menstruels peuvent devenir irréguliers et les symptômes de la ménopause peuvent commencer à apparaître.

– Traitements : certaines femmes choisissent de suivre un traitement hormonal substitutif (THS) pour atténuer les symptômes de la ménopause. Le THS consiste en une thérapie hormonale qui vise à compenser la diminution des hormones sexuelles. Cependant, il comporte des risques et des avantages qui doivent être discutés avec un professionnel de la santé. D’autres options incluent des traitements non-hormonaux et des changements de mode de vie.

– Traitement naturel de type MiYé : les principes actifs comme la vitamine B6 qui aide à réguler les hormones, la mélisse pour un meilleur sommeil et le romarin contribue à fortifier le foie, responsable de la régularisation des hormones.

– Chromothérapie : elle permet la stimulation des glandes endocrines comme les ovaires responsables des oestrogènes pour une augmentation de la production et pallier à toutes les problématiques rencontrées.

La ménopause est une étape naturelle de la vie mais elle peut avoir un impact significatif sur le bien-être. Chaque femme vivra la ménopause de manière différente.

L’addiction alimentaire, également connue sous le nom de trouble de l’alimentation compulsive (TCA), est un trouble caractérisé par une préoccupation excessive à l’égarde de la nourriture, des comportements alimentaires compulsifs et la perte de contrôle sur la quantité et le type d’aliments consommés. Cette condition peut avoir un impact significatif sur la vie quotidienne d’une personne et sa santé physique et mentale. Voici quelques éléments clés à connaître sur l’addiction alimentaire.

– Comportement compulsif : les personnes atteintes d’addiction alimentaire ont souvent des épisodes de consommation excessive d’aliments, même si elles ne ressentent pas nécessairement de la faim. Ces épisodes sont souvent associés à un sentiment de honte, de culpabilité et de perte de contrôle.

– Aliments déclencheurs : certaines personnes sont plus enclines à l’addiction alimentaire avec des aliments spécifiques, généralement riches en sucre, en graisses ou en sels, tels que les sucreries, les frites, les pizzas, etc Ces aliments peuvent déclencher des épisodes compulsifs.

– Facteurs sous-jacents : l’addiction alimentaire peut être liée à des facteurs sous-jacents tels que le stress, la dépression, l’anxiété, les antécédents de traumatisme, les problémes de confiance en soi etc. Les personnes atteintes d’addiction alimentaire peuvent utiliser la nourriture comme un moyen de faire fac aux émotions.

– Prévention : la prévention de l’addiction alimentaire consiste souvent à adopter une alimentation équilibrée, à gérer le stress de manière saine, à développer des compétences en matière de régulation émotionnelle.

La chromothérapie va favoriser la production d’endorphines, de sérotonines et de mélatonines (hormones de l’humeur et du bien-être) pour un état d’esprit positif.

 L’acné est une affectation cutanée courante qui se caractérise par des éruptions cutanées, des boutons, des points noirs et des pustules, généralement sur le visage, le dos, la poitrine et parfois d’autres parties du corps. Elle est le plus souvent associée à l’adolescence mais elle peut toucher des personnes de tous âges, y compris les adultes. Voici quelques informations sur l’acné.

– Causes : l’acné est principalement causée par des pores obstrués. les pores de la peau contiennent des follicules pileux et des glandes sébacées. Lorsque ces glandes produisent trop de sébum (une substance huileuse), les pores peuvent se boucher piégeant les cellules mortes de la peau et permettant aux bactéries de se développer. Cela peut entrainer des inflammations et des boutons.

– Types d’acné : il existe différents types d’acné, notamment les points noirs (comédons ouverts), les points blancs (comédons fermés), les pustules (boutons remplis de pus), les kystes (lésions profondes et douloureuses) et les papules (boutons rouges et enflammés).

– Facteurs de risque : les facteurs qui peuvent augmenter le risque de développer de l’acné incluent les antécédents familiaux, les fluctuations hormonales (typiques de l’adolescence, de la grossesse ou de la période prémenstruelle), l’utilisation de produits de soin de la peau inappropriés, le stress et certains médicaments.

– Entretien de la peau : adopter de bonnes habitudes de soins de peau peut aider à prévenir et à gérer l’acné. L’acné est une affection courante et traitable en chromothérapie grâce à son effet anti microbien qui évite la formation de bouton et de kyste. De plus, la sécrétion des glandes exocrines vont diminuer, comme les glandes sébacées reponsables de la peau grasse et comédogènes.

-Chromothérapie : permet  de detoxifier le foie qui en présence d’un surplus de toxine libéré la testostérone, activateur de sécrétion sébacée et ensuite la chromothérapie va aussi désinfecter pour un effet anti-bactérien .

Les poches et les cernes sous les yeux sont des problèmes courants de la peau autour des yeux. Ils peuvent être causés par divers facteurs, tels que la fatigue, le stress, la génétique, le vieillissement, les allergies, la rétention d’eau ou même une mauvaise circulation. Voici quelques conseils pour réduire l’apparence des poches et des cernes sous les yeux.

Repos adéquat : assurez vous de dormi suffisament chaque nuit, en moyenne 7h, pour permettre à votre peau de se régénérer. Un sommeil régulier peut réduire l’apparence des cernes. Le manque de sommeil peut rendre la peau pâle et plus transparente, faisant ressortir les vaisseaux sanguins sous les yeux.

– Élévation de la tête : essayez de dormir avec la tête légérement surélevée en utilisant un oreiller supplémentaire pour réduire la rétention de liquide autour des yeux.

– Réduisez la consommation de sel : une consommation excessive de sel peut entraîner ue rétention d’eau, ce qui peut aggraver les poches sous les yeux. Limitez votre apport en sel.

– Destruction des cellules graisseuses : les cellules graisseuses sont sensibles au froid et cristallisent lorsqu’elles sont exposées à des températures spécifiques. Cela provoque des dommages aux cellules graisseuses qui sont ensuite progressivement éliminées naturellement par le système lymphatique au fil des semaines.

– Cryolipolyse : le froid va permettre une gymnastique des vaisseaux sanguins et lymphatiques pour permettre une vasoconstruction et une vasodilatation.

– Hydratation : assurez-vous de rester bien hydraté en buvant suffisamment d’eau tout au long de la journée.

– Chromothérapie : la chromothérapie permet de stimuler la circulation lymphatique et la micro-circulation pour diminuer l’oedème et la couleur violacée de la cerne.

Les cicatrices sont des marques sur la peau qui résultent d’une guérison d’une blessure, d’une incision chirurgicale, d’une brûlure, d’une piqûre d’insecte, d’une éruption cutanée ou d’autres types de lésions cutanées. Elles sont le résultat du processus naturel de réparation de la peau, au cours duquel le tissu conjonctif (collagène) remplace le tissu endommagé. Voici quelques informations importantes sur les cicatrices :

Il existe différents types de cicatrices, notamment :

– Cicatrices hypertrophiques : elles sont épaisses et surélevées mais restent confinées à la zone de la blessure.

– Cicatrices chéloïdes : elles sont similaires aux cicatrices hypertrophiques mais se propagent au-delà de la zone d’origine.

– Cicatrices atrophiques : elles sont plates et creuses, souvent causées par la perte de tissu cutané.

– Cicatrices pigmentées : elles peuvent être plus foncées ou plus claires que la peau environnante.

– Cicatrices contractures : elles se forment lorsqu’une grande quantité de tissu est perdue, comme dans le cas des brûlures, et peuvent entraîner un resserrement de la peau.

– Acceptation : il est important de se rappeler que les cicatrices font partie de la guérison naturelle du corps. Elles peuvent être permanentes mais, avec le temps, elles peuvent s’estomper et devenir moins visibles. L’acceptation de vos cicatrices est un aspect important de l’estime de soi et de la confiance en soi. Chaque cicatrice est unique : son apparence et son évolution varie d’une personne à l’autre.

La chromothérapie va stimuler les fibroblastes, cellules qui synthétisent le collagène et l’élastine.

Le relâchement cutané, également connu sous le nom de flaccidité cutanée ou ptôse cutanée, se produit lorsque la peau perd son élasticité et sa fermeté, ce qui entraîne un affaissement ou un relâchement de la peau. cela peut afecter différentes parties du corps, y crompris le visage, le cou, les bras, l’abdomen, les cuisses et d’autres zones. Le relâchement cutané peut être causé par divers facteurs.

– Le vieillissement naturel : le vieillissement est l’une des principales causes du relâchement cutané. Avec l’âge, la production de collagène et d’élastine, les protéines responsables de la fermeté de la peau, diminue. Ce qui entraîne une perte de l’élasticité.

– Exposition au soleil : l’exposition prolongée au soleil peut endommager le collagène et l’élastine de la peau, accélérant ainsi le processus de relâchement cutané. L’utilisation régulière d’une protection solaire adéquate est essentielle pour prévenir ces dommages.

– Perte de poids rapide : une perte de poids rapide peut entraîner un relâchement cutané, car la peau n’a pas le temps de s’adapter à la nouvelle forme du corps. Cela se produit souvent après un régime strict.

– Hérédité : la génétique peut jouer un rôle dans le relâchement cutané. Certaines personnes sont naturellement plus prédisposés à avoir une peau moins élastique.

– Tabagisme : le tabagisme est lié au vieillissement prématuré de la peau, car il peut réduire la production de collagène et provoquer des dommages aux fibres élastiques de la peau.

– Mauvaises habitudes alimentaires : une alimentation déséquilibrée et pauvre en nutriments essentiels peut contribuer au relâchement cutané en privant la peau des éléments nécessaires à sa santé.

– Grossesse : la grossesse peut étirer la peau de l’abdomen, des seins et d’autres zones, ce qui peut entraîner un relâchement cutané après l’accouchement. Le traitement du relâchement cutané dépend de sa gravité et de son emplacement.

Voici quelques options de traitements possibles :

-La Crème : le centella asiatica est un actif très connu pour traiter le relâchement cutané. Cet actif va stimuler les fibroblastes et les fibres de collagène et d’élastique.

-La Chromothérapie : cette technique permet de stimuler les fibroblastes qui sont à l’origine de la synthétisation des fibres de collagène et d’élastine pour redonner souplesse et élasticité à la peau.